fesse de bouc


réseaux sociaux: entre solitude, ennui et exhibitionnisme: la grande illusion?

Si Nietzsche était sur Facebook, il préférerait qu’on l’ajoute comme ennemi »

Le blog 24 heures philo de Liberation.fr invite un essayiste à réfléchir autour du réseau social.

par Alexandre Hervaud

tags : blog , réseau social , facebook , philosophie

DR

Le blog 24 heures philo, hébergé par Libération.fr et coordonné par François Noudelmann et Eric Aeschimann, a invité Luis de Miranda à réfléchir autour du Facebook. L’éditeur et essayiste qualifie le réseau social d’expérience « tragique, belle et douloureuse » et sa réflexion, non sans humour, mérite clairement la lecture. D’autant que c’est pas avec notre niveau relativement moyen en philo qu’on vous parlera ici de Facebook en citant Nietzsche, Deleuze et Sartre, hein.

Extrait :

« Chacun de nous est une planète, un monstre baroque, composé de mille points d’expérience modulés en un assemblage unique et mouvant. Nous cherchons non pas notre moitié, mais notre double structurel, celui qui pourrait entrer en résonance avec les points de suture qui nous composent –nous sommes chacun un Frankenstein singulier poursuivant sa fiancée fantasmatique. Facebook exhibe plus que de raison notre vain effort pour trouver notre monstre frère, alors que les chances pour rencontrer quelqu’un qui soit structuré comme nous sont plus infimes que celles, pour la France, de remporter l’Eurovision. »

Lire l’intégralité de son post, intitulé L’humain est une enveloppe, Facebook est son message

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